Il ne s’agit plus, aujourd’hui, d’informatiser des processus existants mais bien d’optimiser les process métiers en profitant des automatisations possibles. Cette automatisation peut être appliquée dans des situations complexes ou répétitives, sans que jamais l’attention de la machine ne puisse être prise en défaut. L’intervention humaine est alors réservée aux cas où elle apporte réellement une valeur ajoutée. Les process doivent aussi être allégés afin d’éviter les déperditions bureaucratiques grâce à une approche de type Lean.
1. BPM et Process Mining : Pour industrialiser ses processus, il faut d’abord les décrire, puis les outiller. Récolter des données sur leur fonctionnement permet de ensuite mieux les connaître, les comprendre et les optimiser : un autre levier pour l’amélioration continue.
2. RPA et IA opérationnelle : Supprimer les interventions humaines sur les tâches sans valeur ajoutée est un accélérateur pour les métiers et accroît également la fiabilité des processus et des données.
3. Low-code / no-code : Les métiers veulent gagner en autonomie pour mettre en œuvre aisément ou personnaliser rapidement les outils du quotidien.
4. ESM : Les outils développés pour l’ITSM ont fait émerger des portails pour gérer tous les services aux utilisateurs, du support client à la GRH : l’Enterprise Service Management.